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Il naso / Le Nez — на італьянскай і французскай мовах. Старонка 3

Італьянска-французская кніга-білінгва

Nikolaj Vasil’evič Gogol’

Il naso

Nikolaï Vassilievitch Gogol

Le Nez

— No, — disse Kovalev dopo aver letta questa lettera: — lei è proprio incapace di tanto. Non può essere! Una lettera scritta così non può essere d’una persona che abbia commesso un delitto. —

— Non, fit Kovaliov, après avoir relu la lettre; elle n’est vraiment pas la coupable. Cela ne se peut pas. Une lettre pareille ne pourrait être écrite par quelqu’un qui aurait commis un crime.

L’assessore di collegio era esperto in simili faccende e in altre, anzi una volta era stato mandato a compiere una inchiesta nel Caucaso.
— In che modo, con quali malie, intanto, si è compiuto? — disse fra sè. — Oramai vada tutto al diavolo.
E si lasciò cader le mani.

L’assesseur de collège s’y connaissait, puisqu’il avait été plusieurs fois commis pour instruire des affaires criminelles, lorsqu’il était encore au Caucase.
— De quelle manière, par quel hasard, cela a-t-il pu se produire? Le diable seul saurait s’y reconnaître! fit-il enfin avec un geste de découragement.

Frattanto, in tutta la capitale, correvan le voci sul singolare avvenimento, e, come sempre avviene, non senza frange e ricami.

Cependant le bruit de cet événement extraordinaire avait couru dans toute la capitale et, comme il est d’usage, non sans s’agrémenter de petites particularités nouvelles.

Tutti gli animi, di quel tempo, eran rivolti allo straordinario. Poco tempo prima il pubblico si era commosso a due esperienze di magnetismo; era ancor recente la storia delle tavole giranti in via delle Scuderie. Non bisogna dunque meravigliarsi se si cominciò subito a diffonder la novella che il naso dell’assessore di collegio Kovalev passeggiava verso le tre sulla Prospettiva della Nevà, e già da un bel pezzo. Una gran moltitudine di curiosi vi affluì ogni giorno.

À cette époque, tous les esprits étaient portés vers le miraculeux: le public se trouvait encore sous l’impression d’expériences récentes, relatives au magnétisme. L’histoire des chaises dansantes, dans la rue Koniouchennaïa, était encore toute fraîche; il n’y avait donc rien d’étonnant à ce que bientôt on en vint à dire que le nez de l’assesseur de collège Kovaliov se promenait tous les jours, à trois heures précises, sur la Perspective de Nievsky. L’affluence des curieux était tous les jours énorme.

Alcuno affermò che il naso trovavasi nel magazzino di Iunker, ove si accalcò tanta folla, occupando anche i dintorni, che la polizia fu costretta a stabilirvi un servizio d’ordine.

Quelqu’un s’avisa tout à coup de dire que le nez se trouvait dans le magasin de Jounker; et le magasin fut assiégé par une telle foule, que la police elle-même dut s’en mêler et rétablir l’ordre.

Uno speculatore, uomo da bene, con favoriti, che vendeva all’uscita dei teatri caramelle e paste secche, fece inalzare apposta bellissimi palchetti solidi di legno, ove invitava i curiosi a salire per sessanta copeki ciascuno.

Un spéculateur à mine grave, portant favoris, qui vendait des gâteaux secs à l’entrée des théâtres, fit fabriquer exprès de beaux bancs solides, qu’il plaça devant le magasin et sur lesquels il invitait obligeamment les assistants à monter, pour le prix modique de quatre-vingts kopecks.

Un colonnello di gran merito uscì di casa a buon’ora per veder codesto; e potè penetrare a stento tra la folla; ma, con profonda indignazione, non vide nella finestra della bottega, invece del naso, che una comunissima maglia di lana e un quadro in litografia rappresentante una giovinetta che rammenda calze, e un elegante dal corpetto scollato, dalla barbettina corta, che la guarda dall’alto di un albero… quadro che era là da oltre dieci anni.

Un colonel qui avait de très beaux états de service sortit même exprès pour cela de meilleure heure qu’à l’ordinaire, et il ne réussit qu’à grand’peine à se frayer un passage à travers la foule; mais à sa grande indignation, il aperçut, dans la vitrine du magasin, au lieu du nez, un simple gilet de flanelle et une lithographie qui représentait une jeune fille reprisant un bas, tandis qu’un jeune élégant, avec une barbiche et un gilet à grands revers, la regardait de derrière un arbre — lithographie qui se trouvait à cette même place depuis plus de dix ans.

Il colonnello se ne andò indispettito, dicendo: «Come mai si può ingannare il popolo con ciarle tanto sciocche e inverosimili!».

Le colonel s’éloigna en disant avec dépit:
— Comment peut-on troubler le monde avec des récits aussi stupides et aussi peu vraisemblables!

Corse poi la voce che il naso del maggiore Kovalev passeggiava, non più sulla Prospettiva della Nevà, ma nel giardino di Tauride: vi si trovava già da molto tempo, dicevano, sin da quando vi soggiornava Khozrev Mizza, che si meravigliava di quel bizzarro capriccio della natura. Vi furon mandati alcuni studenti dell’accademia di medicina.

Puis ce fut un autre bruit: le nez du major Kovaliov se promenait non sur la Perspective de Nievsky, mais dans le jardin de Tauride; on ajoutait même qu’il s’y trouvait depuis longtemps déjà, que le fameux Kozrev-Mirza, lorsqu’il y séjournait encore, s’étonnait beaucoup de ce jeu bizarre de la nature. Quelques étudiants de l’académie de chirurgie se rendirent exprès dans ce jardin.

Una rispettabile signora, di altissima nascita, pregò il guardiano di quel giardino, con lettera riservata, di mostrare ai figli quel raro fenomeno, e, possibilmente, di unirvi una spiegazione introduttiva ed edificante per la gioventù.

Une grande dame écrivit au surveillant, le priant de montrer à ses enfants ce rare phénomène et de leur donner à cette occasion quelques explications instructives et édifiantes pour la jeunesse.

Questi fatti formaron la delizia de’ visitatori mondani, necessari a ogni discorso, ove cercasi di svagare le signore, e ove le argute raccolte di notizie vanno sempre più scemando.

Tous ces incidents faisaient la joie des hommes du monde, habitués des raouts, très à court en ce moment d’anecdotes capables de dérider les dames.

Invece, un gruppetto di persone onorevoli e ben pensanti se ne mostrò scontentissimo;

Par contre, la minorité des gens graves et bien pensants manifestait un vif mécontentement.

anzi un signore, sdegnato, ebbe a dire di non comprendere come nel secolo civile in cui viviamo potevan diffondersi cotali voci false e assurde, meravigliandosi che il governo non rivolgesse più vigili cure sull’argomento. Quel signore, evidentemente, era di coloro che vogliono mischiare da per tutto il governo, magari ne’ pettegolezzi quotidiani con le proprie mogli.

Un monsieur très indigné disait même qu’il ne comprenait pas comment, dans notre siècle éclairé, des inepties semblables pouvaient se répandre, et il se trouvait très surpris de voir que le gouvernement ne finissait pas par diriger son attention de ce côté. Le monsieur en question appartenait évidemment à la catégorie des gens qui voudraient immiscer le gouvernement dans tout, même dans leurs querelles quotidiennes avec leurs moitiés.

Dopo di che… ma qui la storia copresi novellamente di un denso velo e di quel che avvenne dopo non si sa niente addirittura.

Après cela… Mais ici les événements s’enveloppent encore une fois d’un brouillard, et ce qui vient après demeure absolument inconnu.

III

III

Avvengono nel mondo scioccherie d’ogni sorte, e i fatti talora non hanno alcuna verisimiglianza: or quello stesso naso che girava in divisa di consigliere di Stato e suscitava nella città tanto scalpore, si ritrovò d’improvviso, non si sa come, al suo posto preciso, fra le due guancie del maggiore Kovalev.

D’étranges événements se passent dans ce monde, des événements qui sont même parfois dénudés de toute vraisemblance: voilà que le même nez qui circulait sous les espèces d’un conseiller d’État et faisait tant de bruit dans la ville se trouva, comme si de rien n’était, de nouveau à sa place, c’est-à-dire par conséquent entre les deux joues du major Kovaliov.

Ciò avvenne il 7 di aprile. Svegliatosi, e guardandosi nello specchio, il maggiore vide il suo naso! Vi portò la mano… Era davvero davvero il suo naso.
— Ah, ah! — esclamò Kovalev, e poco mancò non si desse a ballare coi piedi scalzi per la stanza. Ne fu impedito dall’arrivo d’Ivan. Gli comandò di portargli subito da lavarsi, e lavandosi, si guardava nello specchio; il naso era là, ben piantato. Si asciugò con un pannolino, e si mirò novellamente nello specchio… il naso era sempre là.

Ceci arriva en avril, le 7 du mois. En s’éveillant, le major jeta par hasard un regard dans la glace et aperçut un nez; il y porta vivement la main: c’en était un effectivement!
— Eh! se dit Kovaliov.
Et de joie il faillit exécuter, nu-pieds, une danse échevelée à travers la chambre; mais l’entrée d’Ivan l’en empêcha. Il se fit apporter immédiatement de l’eau et, en se débarbouillant, il se mira encore une fois dans la glace; le nez était là. En s’essuyant avec sa serviette, il y jeta un nouveau regard; le nez était là!

— Guarda qui, Ivan; mi sembra di aver sul naso un foruncoletto, — disse: intanto, pensava: «Il guaio sarà che Ivan mi dirà: — Ma lei, signor mio, non solo non ha foruncolo, ma neppur naso».

— Regarde donc, Ivan, il me semble que j’ai un bouton sur le nez, dit-il à son domestique.
Et il pensait en même temps:
«C’est cela qui sera joli, lorsque Ivan va me dire: mais non, monsieur, non seulement il n’y a pas de bouton, mais le nez lui-même est absent.»

Invece, Ivan rispose:
— Non c’è niente; nemmeno l’ombra di foruncolo: il suo naso è intatto.

Mais Ivan répondit:
— Il n’y a rien, monsieur, on ne voit aucun bouton sur votre nez.

— Benissimo! Or il diavolo mi porti! — disse fra sè il maggiore, e fece schioccar le dita.
In quel momento apparve sull’uscio il barbiere Ivan Iakovlevic, dall’aria paurosa d’un gatto frustato.

— C’est bon, cela, que le diable m’emporte! se dit à part soi le major, en faisant claquer ses doigts.
En ce moment le barbier Ivan Iakovlievitch passa sa tête par la porte timidement, comme un chat qu’on viendrait de fouetter pour avoir volé du lard.

— Dimmi prima: hai le mani nette? — gli gridò di lontano Kovalev.
— Nettissime.
— Menti.
— Giuro a Dio che sono nette, signore!
— Orsù: fammele vedere.

— Dis-moi d’abord: tes mains sont-elles propres? lui cria Kovaliov en l’apercevant.
— Oui, monsieur.
— Tu mens.
— Par ma foi, elles sont parfaitement propres, monsieur.
— Tu sais, prends garde!

Kovalev sedette. Ivan Iakovlevic gli attorse al collo un asciugamano, in men che si dica gl’insaponò la barba e parte delle guancie con un pennello in crema, come quella che vendono i gelatieri nelle feste.

Kovaliov s’assit, Ivan Iakovlievitch lui noua une serviette sous le menton et en un instant, à l’aide du blaireau, lui transforma toute la barbe et une partie des joues en une crème telle qu’on en sert chez les marchands le jour de leur fête.

«Vedi, ve’!», disse fra sè Ivan Iakovlevic, dopo aver guardato il naso! e poi, chinando il capo di lato, osservato nell’altro senso: «Vedi! Sta proprio a dovere!», soggiunse; e stette per un pezzo a contemplare il naso. Alla fine, con vigile cura e prudenza, come si fa per sè stessi, egli strinse due dita per prenderne la punta. Era il metodo di Ivan Iakovlevic.

— Voyez-vous cela, se dit-il, en jetant un coup d’œil sur le nez. Puis il pencha la tête et l’examina de côté:
— Le voilà lui-même en personne… vraiment, quand on y songe… continua-t-il en poursuivant son monologue mental et en attachant un long regard sur le nez.
Puis, tout doucement, avec des précautions infinies, il leva en l’air deux doigts, afin de le saisir par le bout: tel était le système d’Ivan Iakovlievitch.

— Su, via! bada! — gridò Kovalev. Ivan Iakovlevic lasciò cader la mano, perdette la testa e si sconvolse come non mai sino allora. Cominciò alla fine a raspare accuratamente col rasoio sotto la barba, e sebbene gli fosse difficile il radere senza poggiar le dita sulla parte olfattiva del corpo, tuttavia aiutavasi alla meglio col pollice posato sulla guancia e sulla gengiva inferiore, e, bene o male, giunse a vincer le difficoltà e conseguì l’operazione.

— Allons, allons, prends garde! s’exclama Kovaliov.
Ivan Iakovlievitch laissa tomber ses bras et se troubla comme il ne s’était encore jamais troublé de sa vie. Finalement, il se mit à chatouiller tout doucement du rasoir le menton du major, et quoiqu’il fût très difficile de faire la barbe sans avoir un point d’appui dans l’organe olfactif, il réussit pourtant, en appliquant son pouce rugueux contre la joue et la mâchoire inférieure du major, à vaincre tous les obstacles et à mener à bonne fin son entreprise.

Quando fu pronta ogni cosa, Kovalev si affrettò a vestirsi; prese un cocchiere e andò difilato a una dolceria. Entrando, ancor lontano, gridò: «Giovinotto! Una tazza di cioccolatte!» e si guardò nell’un tempo in uno specchio: il naso era proprio a posto! Si volse allegramente, e con aria spavalda osservò, strizzando l’occhio, due militari, uno dei quali aveva il naso più piccolo di un bottone da corpetto.

Lorsque tout fut prêt, Kovaliov s’empressa de s’habiller, prit un fiacre et se rendit tout droit à la pâtisserie. En entrant, il cria de loin:
— Garçon, une tasse de chocolat!
Et il courut aussitôt vers la glace: le nez était là! Il se retourna triomphant et jeta un coup d’œil ironique sur deux officiers qui se trouvaient là et dont l’un possédait un nez pas plus gros qu’un bouton de gilet.

Si recò poi nella cancelleria del Ministero, dove sollecitava per aver un posto di vice-governatore; e, in caso avverso, almeno quello di usciere; traversando la sala da ricevere, si guardò ancora nello specchio; il naso era sempre là.

Après quoi il se rendit au bureau de l’administration où il faisait des démarches dans le but d’obtenir une place de gouverneur, ou à défaut un emploi d’huissier. En traversant la salle de réception, il jeta un coup d’œil dans la glace: le nez était là.

Si diresse poi da un altro assessore di collegio, un maggiore, grandissimo burlone, motteggiatore, al quale soleva dire in risposta a’ frizzi mordaci: «Oh, io ti conosco, io: tu sei pungente!». Pensava per via: Se il maggiore non scoppia a ridere nel vedermi, sarà segno che in me tutto sta bene. Ma l’assessore di collegio non c’era. Benissimo! Ottimamente! Se lo porti il diavolo, disse fra sè Kovalev.

Puis il alla rendre visite à un autre assesseur de collège ou major, esprit très ironique, à qui il avait coutume de dire en réponse à ses observations gouailleuses:
— Toi, je te connais, tu es piquant comme une épingle.
Chemin faisant, il s’était dit:
— Si le major lui-même n’éclate pas de rire à ma vue, ce sera l’indice le plus certain que tout se trouve à sa place accoutumée.
Mais l’assesseur de collège ne dit rien.
— C’est bien, c’est bien, c’est parfait, se dit à part lui Kovaliov.

Incontrò per via la moglie dell’ufficiale superiore, signora Podtocina, con la figlia, le fece una riverenza, e fu accolto da liete manifestazioni: non gli mancava dunque niente. Conversò a lungo, e, apposta, aperta la tabacchiera, fiutò il tabacco, dinanzi a loro, per le due narici, dicendo fra sè: «Pigliate, ora, femmine, popolo di galline! Io non sposerò punto tua figlia. A meno che lei non consenta… simplement par amour! Allora, sia!

En revenant, il rencontra la femme de l’officier supérieur Podtotchine avec sa fille; il les aborda et fut accueilli par elles avec de grandes démonstrations de joie: donc il ne présentait aucune défectuosité! Il s’entretint très longtemps avec elles et, sortant sa tabatière, se mit à bourrer exprès de tabac son nez des deux côtés, en se disant: «Tenez, je me moque bien de vous, femmelettes, coquettes que vous êtes!… et quant à la fille, je ne l’épouserai tout de même pas. Comme cela — par jeu — je veux bien.»

E il maggiore Kovalev girò per la Prospettiva della Nevà, pei teatri, da per tutto. E il naso, come se niente fosse, gli restò lì, piantato in faccia, senza pur l’ombra di piegar da lato.

Et, depuis lors, le major Kovaliov se promenait comme si de rien n’était, et sur la Perspective de Nievsky et dans les théâtres et partout. Et son nez aussi, comme si de rien n’était, restait sur sa figure sans même avoir l’air de s’être jamais absenté.

E da quel giorno in poi il maggiore Kovalev sembra di buon umore, sorridente, e cercatore appassionato di belle donne; lo si vide anche una volta in un banco del Gostini comperar un nastro cavalleresco; non si può sapere il motivo, perchè lui non era cavaliere di niun ordine.

Et depuis lors on voyait le major Kovaliov toujours de bonne humeur, toujours souriant, courtisant toutes les jolies personnes sans exception aucune.

Questa è la storia avvenuta nella capitale settentrionale del nostro vasto impero.

Telle fut l’histoire qui se passa dans la capitale du nord de notre vaste empire!

Ora, ora, a ben considerare ogni cosa, vediamo che vi sono molte inverosimiglianze: senza pensar di quel che è stupefacente in quello staccarsi subitaneo del naso, del suo comparir in vari luoghi sotto l’aspetto di segretario di Stato, come mai Kovalev non capì che per un naso non può farsi l’annunzio su d’un giornale?

Maintenant, tout bien pesé, nous nous apercevons qu’elle offre beaucoup de côtés invraisemblables. Sans parler du fait vraiment étrange de la fuite miraculeuse du nez, et de sa présence en différents endroits sous l’aspect d’un conseiller d’État. Comment Kovaliov ne comprit-il pas qu’on ne pouvait décemment publier une annonce sur un nez perdu?

E qui non voglio discutere l’alto prezzo da sborsare per una inserzione, poichè io non sono punto da metter fra le persone avare; ma la cosa è indecente, goffa e sconveniente.

Non que je veuille dire par là qu’il lui aurait fallu la payer beaucoup trop cher; cela, c’est une bagatelle, et je ne suis pas du tout du nombre des gens cupides. Mais ce n’est pas convenable, cela ne se fait pas, ce n’est pas bien.

E questo ancora: come mai il naso si trovò in un pane cotto, e come mai Ivan Iakovlevic stesso fu a trovarlo…? No, io non posso affatto capir codesto; davvero, non capisco.

Et puis encore… comment le nez s’était-il trouvé dans le pain cuit et comment Ivan Iakovlievitch lui-même… non, cela, je ne le comprends pas du tout!

Ma ciò ch’è ancora più curioso, più incomprensibile, è che qualche scrittore possa scegliere simili argomenti. Lo confesso; anche questo è per me inconcepibile e, davvero… no, no! Non ci capisco niente!

Mais ce qui est le plus étrange et le plus incompréhensible, c’est que les auteurs puissent choisir des sujets pareils pour leurs récits. Cela, je l’avoue, est tout à fait inconcevable; cela, vraiment… non, non, cela me dépasse.

E proprio non so che…

En premier lieu, il n’en résulte aucun bien pour la patrie et en second lieu… mais en second lieu également, il n’en résulte non plus aucun mal. C’est tout simplement un je-ne-sais-quoi.

Eppure, in fin dei conti, forse in fondo in fondo si potrà ammettere prima una cosa, poi una seconda, poi una terza, e via via… Giacchè, a dirla fra noi, dove non si trovano rassomiglianze? E quando si pensi a ciò, sicuro, qualcosa c’è. Si ha un bel dire; ma fatti simili avvengono nel mondo; di rado sì, ma avvengono.

Et pourtant, avec tout cela, quoique… certes, on puisse admettre bien des choses, peut-être même… et enfin où ne se glisse-t-il pas certaines discordances?… Et tout de même, quand on y réfléchit bien, il y a vraiment quelque chose là-dedans. On a beau dire, de pareils faits arrivent dans ce monde, rarement, mais ils arrivent…

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